A l’heure où je te cause, Lecteur, je suis quelque part au-dessus de l’océan.
Je vais donc t’abandonner une petite dizaine de jours sans regret avec tristesse et profiter de mes premières vraies vacances depuis 2006. Autant te dire que je les attends depuis un petit moment et que je vais en savourer chaque seconde.
Allez, bons baisers de Russie Madère !
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